du 31 mai au 8 juin
Café des fiertés du 31 mai au 8 juin (6 et 7 juin fermé) à la salle communale de Plainpalais
Le café des fiertés c’est un espace safe ou auront lieu les soirées d’ouverture et de clôture, des conférences, des concerts des animations, une après-midi famille et des projections ainsi que le Queer Market. Mais le Café des fiertés c’est aussi et surtout un lieu convivial, avec de la musique, et si tu as faim ça tombe bien ! Il y aura des Tapas à la carte.
Cependant prends garde, parfois les hôtes se transforment lorsque la lune monte dans le ciel en créatures de la nuit et il se pourrait qu’iels t’entrainent dans une fête à la hauteur de leur folie ! – Horaires du Café des fiertés : Samedi 31 mai 2025 : de 18h00 à 22h00 puis soirée d’ouverture jusqu’à 06h00 dimanche 1er juin : de 14h00 à 23h00 lundi 2 et mardi 3 juin 2025 : de 17h00 à 23h00 Mercredi 4 juin : de 13h00 à 17h00 (réservé aux familles) de 17h00 à 00h00 (ouvert à touxtes) Jeudi 5 juin 2025 : de 17h00 à 02h00 Vendredi 6 : pause Samedi 7 : soirée de clôture de 22h30 à 05h00 Dimanche 8 juin 2025 : de 12h00 à 20h00
Village des fiertés les 6 et 7 juin au Parc des Bastions
Horaires : Vendredi de 16h00 à 00h00 Samedi de 16h00 à 00h30
Comment se rendre au village ? Le village est au cœur du Parc des Bastions, face au mur des Réformateurs. Plusieurs lignes de bus et de tram t’y conduiront (bus 5 et 3 - trams 12 et 18). Depuis la gare de Genève (Cornavin) prends le tram 18 ou le bus 5 et descends à Place de Neuve.
Grande marche le samedi 7 juin
Point de rassemblement : quai Wilson, 14h00 Arrivée : Parc des Bastions dès 16h30
Comment arriver au rassemblement de la marche ? Depuis la Gare de Genève (Cornavin) : tram 15 (direction Nations) : arrêt Butini, 6 minutes de marche en direction du lac. Autres lignes : bus 1 et 25 (direction Jardin Botanique) : arrêt Gautier, 3 minutes de marche en direction du lac
La Geneva Pride – La Marche des Fiertés de Genève se veut un événement socioculturel et une manifestation politique d’utilité publique destinée à donner une visibilité aux personnes homosexuelles, bi, trans*, intersexes, queers et non-binaires, ainsi qu’à toute autre personne subissant des discriminations en raison de son orientation sexuelle, son identité ou expression de genre (LGBTQIA+). La Marche des Fiertés de Genève se pense comme une marche vers l’égalité et la reconnaissance de la diversité, avec le soutien indispensable de nos allié-e-x-s*. La Geneva Pride s’oppose à la haine, aux violences et demande des droits égaux pour l’ensemble des citoyen·ne·x·s. Vous pouvez soutenir l’association en donnant de votre temps en tant que bénévole, en faisant un don ou en devenant membre en nous écrivant un courriel. La cotisation annuelle est de CHF 20.-.
Cette année la Geneva Pride mettra en avant 4 revendications, parmi les 50 que compte le cahier :
Le soutien financier et politique du travail de proximité des associations prenant en compte la santé LBGTQIA+ afin qu’elles puissent répondre aux besoins des populations vulnérables concernées, à l’amélioration de leur accès aux soins, à la promotion de la santé et à la prévention de leur santé globale : sociale, physique, mentale et sexuelle.
Les personnes LGBTQIA+ subissent du stress minoritaire et sont particulièrement exposées aux discriminations, aux violences et à la précarité. Cela entraine un risque de dépression deux fois plus élevé pour les minorités sexuelles (gay, lesbiennes, bi, …) et cinq fois plus élevé pour les minorités de genre (personnes trans, non-binaires, …) que chez les personnes hétérosexuelles cis.
L’inclusion de l’identité et de l’expression de genre, des caractéristiques sexuelles, de l’orientation affective et de la structure familiale dans la norme antiraciste, en précisant que la supposition d’appartenance à une communauté suffit (art. 261bis CP).
A l’heure actuelle les personnes trans* ne sont toujours pas protégées par la loi en Suisse. Vue l’actualité nauséabonde et le climat de terreur qui s’est emparé de pays qui semblaient pourtant en avance sur les questions d’identité de genre, il est important de les protéger au plus vite.
L’interdiction, au niveau fédéral, des prétendues “thérapies de conversion” et de toutes pratiques prétendant modifier l’orientation sexuelle et affective ainsi que l’identité et l’expression de genre.
Ces « traitements », appelés thérapies "de conversion", consistent à ramener des personnes LGBTQIA+ "dans le droit chemin", c’est-à-dire les faire devenir hétérosexuelles. Pour rappel, l’homosexualité n’est plus considérée comme une maladie par l’OMS et donc par la médecine depuis 1992. Les séquelles psychologiques et physiques de ces soi-disant thérapies sont dévastatrices.
L’interdiction de tout traitement visant à altérer les caractères sexuels de personnes intersexuées sans leur consentement et sans nécessité vitale, dans la mesure où ces pratiques doivent être reconnues comme des mutilations génitales.
Leur corps leur choix ! Trop souvent des traitements sans nécessité vitale sont imposés à des enfants intersexes pour correspondre à une vision cisgenre du monde entrainant des répercussions psychologiques et physiques détruisant des vies.
« LGBTQIA…Quoi ? T pour Trans* »
VoGay
Think Out - Association LGBT+Friends Unige
Questions LGBTIQ+ : quels vécus pour quelles représentations médiatiques ?